Tom Goldschmidt, chanson, blues, humour, poésie.
If Beale Street Could Talk
Petite histoire musicale des U.S.A. 

Au commencement...

... était le blues. Le blues, qui naquit dans les champs de coton du Sud au 19ème siècle, mais  migra bientôt dans les villes, avec une nette préférence pour leurs mauvais lieux. Beale Street (Memphis) en fut l'un des plus célèbres, avec Bourbon Street (New Orleans).

Devenu mauvais garçon et grand pécheur, le blues eut beaucoup de bâtards. On retrouve sa trace dans bien des musiques populaires nord-américaines, à commencer évidemment par le jazz, mais par la suite dans la variété, et ses amours scandaleuses avec la country engendrèrent le rock'n roll (terme qui dans l'argot black désignait une activité de couple rarement exercée sur les pistes de danse).

Des tripots de Beale Street aux sommets des hit-parades : c'est cette trajectoire multiforme que ce spectacle retrace, avec amour et humour. Rythmé, en français, par de courts textes de présentation, souvent rimés, "If Beale Street…" incite souvent à rire et à chanter en chœur. Vous le constaterez ci-dessous grâce aux exraits de la playlist.

MAIS...

MAIS...

        Mais attention !!!
Sur ces enregistrements, dus à un amateur bien intentionné mais mal placé, on n'entend pas la guitare  sauf sur le deuxième  titre de la playlist (qui était le dernier morceau du concert. L'aimable spectateur s'était-il déplacé ?), ni l'harmonica ! Vous pouvez néanmoins les juger sur la page "Trio".

Bon, la playlist vous attend un peu plus bas !